La clé pour améliorer votre site web, c’est de vous intéresser à ce qui se passe dessus :
- la provenance de vos visiteurs et pourquoi ils arrivent chez vous
- les pages que voient vos visiteurs,
- les pages par lesquelles ils s’en vont, et pourquoi
- etc.
Pour faire ça, vous devez vous intéresser aux données et statistiques disponibles pour votre site web. Le plus simple, c’est d’utiliser un logiciel comme Google Analytics.
Le problème, c’est que si j’écris « analytics », la plupart des lecteurs a déjà fermé la page car c’est un gros mot.
Mais si vous lisez encore ces lignes, et si vous avez un site web, c’est que vous avez compris qu’il y a ici une clé qui peut vous aider à ouvrir la porte à de meilleurs résultats.
Et vous allez voir, ce n’est pas aussi compliqué que vous le pensez.
L’objectif :
Le but, c’est que vous multipliez par 2, 3, 5 ou même plus le nombre de visiteurs auxquels vous vendez vos services via votre site ou qu’il y ait beaucoup plus de visiteurs qui vous laissent leurs coordonnées et vous contactent.
Il y a des trucs et astuces à connaître et bien sûr des erreurs à ne pas commettre avec Google Analytics.
Etape 1 : installez Google Analytics
Le premier truc, qui est peut-être très bête, mais c’est de l’installer. Le vrai problème, c’est qu’avant de l’avoir installé, on n’a rien, pas une statistique.
Il y a un avant et après.
Si vous voulez avoir des infos, des statistiques sur vos visites, commencez par installer le logiciel.
Etape 2 : filtrez votre adresse IP
Une fois que vous l’avez installé, il faut supprimer votre adresse IP pour ne pas prendre en compte vos propres visites.
Sinon, vous allez biaiser l’ensemble de vos statistiques.
Faites-le donc tout de suite ou vous verrez qu’il y a un visiteur qui reste 40 minutes sur le site. Mais ce sera vous…
Etape 3 : Fixez un objectif
Aujourd’hui, on a un objectif d’activité, un objectif de business, typiquement ça peut être de vendre, ou que les gens, au final, cliquent sur un bouton.
Cet objectif de business, il faut que vous le traduisiez en objectif analytique à paramétrer dans l’administration de Google Analytics.
Il y’a plusieurs types d’objectifs, le plus simple étant de considérer que le visiteur a atteint une certaine page : « un visiteur qui arrive là, ça veut dire que c’est valide ». C’est peut-être la page de remerciement suite à l’inscription dans un formulaire par exemple.
C’est la chose la plus importante à faire parce que tout ce que vous allez analyser, ce sera au regard de cet objectif .
C’est extrêmement difficile de trouver le bon objectif. Si vous demandez à plusieurs personnes qui gèrent un site l’objectif numéro un, l’objectif principal du site, on aura autant de réponses différentes que de personnes à qui la question est posée.
Le plus simple c’est donc la page de remerciement post-commande parce que c’est là où on est sûr d’avoir tous les gens qui ont commandé « normalement ».
Il y’a d’autres possibilités, on peut rajouter un clic sur le bouton, etc. mais ça demande parfois plus de configuration, donc on va dire que c’est la page de remerciement. Il faut surtout que ce soit une page où la seule manière d’y arriver c’est de passer par le bouton d’achat.
Etape 4 : pratiquez Google Analytics
Google Analytics, et l’Analytics en général, c’est comme une langue étrangère.
On peut l’avoir apprise en 6ème, puis on a tout oublié. Mais une langue étrangère, si on veut que ça serve, il ne faut pas vouloir parler parfaitement, il ne faut pas vouloir maitriser parfaitement la grammaire, mais par contre, il faut pratiquer.
Le bonheur de parler anglais, espagnol, allemand, chinois ou arabe, c’est de pouvoir pratiquer, de converser avec quelqu’un.
Donc ça veut dire que le truc à faire avec Google Analytics c’est d’aller s’amuser avec, d’aller dans les menus.
D’aller essayer de comprendre à quoi ça correspond.
D’aller jouer, d’aller regarder le menu du sous-menu du sous-menu, parce que Google Analytics est assez fort là-dedans.
Le risque c’est d’aller se perdre, mais cela permet d’identifier les points essentiels à regarder, et c’est par là qu’il faut commencer.
Etape 5 : bouchez les trous de votre site
Votre site c’est un peu comme une passoire, c’est-à-dire qu’il y a des gens qui arrivent, mais il y’a des trous partout car les visiteurs peuvent partir par pleins d’endroits.
Le but ça va être d’aller boucher ces trous-là.
Donc le premier truc que je conseille c’est simplement d’aller regarder le rapport Google Analytics qui s’appelle « Pages de Destination ». C’est toutes les pages sur lesquelles les visiteurs arrivent, puisque les gens n’arrivent évidemment pas que sur la homepage.
Dans ce rapport, identifiez les pages qui ont, en comparaison à la moyenne du site, un taux de rebond qui est mauvais.
On va commencer par ces pages-là, parce que souvent on va s’apercevoir, généralement, que 20 % des pages créent 80 % des problèmes des gens qui partent, comme souvent 20 % des pages c’est là où on a 80 % de notre trafic.
Commencer par regarder ces pages, et d’aller sur ces pages-là et de dire : « Pourquoi est-ce que les gens s’en vont quand ils arrivent sur ces pages ? ».
La question c’est de dire : « Est-ce qu’ils ont leur réponse à leur question ? », « Est-ce que la page, potentiellement, est moche, parce que c’est un problème créatif, ou d’ergonomie, etc ? »
C’est l’un des points les plus difficiles. C’est de finalement aller lire dans les pensées de ses visiteurs et de comprendre pourquoi ils sont arrivés là, comment, etc. mais c’est un des points essentiels, parce que plus vous arriverez à diminuer le nombre de trous dans la passoire, plus ça sera simple pour ensuite concentrer le jus, le flux, vers l’objectif du site, et donc vers la conversion.
Etape 6 : vérifiez le ROI de vos actions d’acquisition
Essayez ensuite de tracker tous les liens qui vous apportent du trafic pour savoir d’où viennent vos prospects, pour pouvoir justement ouvrir votre entonnoir de conversion.
Vous allez pouvoir tout vérifier au regard de l’objectif analytique que vous avez fixé.
Le point essentiel à ce moment-là, c’est de vous dire : « Je fais des efforts d’acquisition de trafic, j’envoie des emails, je dépense potentiellement un budget sur AdWords, j’ai une page Facebook, j’ai écrit des articles sur d’autres sites, est-ce que ça me ramène du monde ? »
Et donc d’aller classer vos efforts… De mesurer combien ça vous ramène de visiteurs. Et de savoir si ces visiteurs commandent ou s’inscrivent ?
Comme vous avez l’objectif de la commande, vous pouvez regarder, au regard de cet objectif, quelles sont les sources de trafic qui vous rapportent de l’argent.
Google Analytics sert quand on prend des décisions avec, donc derrière il faut dire, bah, 20 % de mes pages sont celles qui me rapportent 80 % de mon business, je mets mes efforts absolument là-dessus et donc vraiment renforcer ce point-là.

L’analytics au service de la performance de votre site internet
Etape 7 : testez l’A/B testing
L’idée derrière l’A/B testing, c’est de vous dire : « J’ai ma page actuelle, je vais en créer une variation de cette page-là avec un élément qui va être différenciant pour voir laquelle des deux variations convertit le mieux au regard de l’objectif fixé. »
Par exemple, ce sont deux pages, l’une avec un bouton rouge et l’autre avec un bouton vert. Mes visiteurs vont dessus aléatoirement et je vois ce qui convertit le mieux.
Une fois que vous l’avez fait, l’idée c’est de recommencer en testant la version qui a le mieux fonctionné contre une nouvelle version (la version C en fait).
3 règles d’or de l’A/B testing
A savoir, il y a 5 règles d’or du testing et la première est de tester ce qui est le plus différenciant, et la couleur du bouton n’est pas obligatoirement le plus différenciant. Globalement, dans le plus différenciant, il y’a d’abord l’offre. Finalement, offrir une offre à abonnement ou offrir une vente ou un essai gratuit par exemple.
Il y a énormément de choses à tester mais c’est sur l’offre marketing que va se faire la plus grande différence en terme de pourcentage.
On a souvent envie de dire « Bah ça y’est, j’ai un produit, je le vends, et puis derrière j’essaye d’améliorer la couleur du bouton pour voir si je peux vendre plus ».
Oui on va vendre plus potentiellement, mais c’est minime par rapport au saut en terme de conversion qu’on peut faire en testant l’offre.
Et le deuxième point, une fois qu’on a testé l’offre et qu’on a fait A contre B, B contre C, B contre D parce que C marchait pas, D contre E, etc., et on peut vraiment tester longtemps, c’est en effet d’aller tester le titre.
C’est le titre qui est ensuite le point le plus différenciant. 50 % de la lecture d’un article ou de l’ouverture d’un mail est dans le titre. Largement. Et c’est pareil pour une offre, ou pour une page ou pour une landing page, etc.
Ensuite seulement, on pourra aller tester les aspects cosmétiques pour savoir si c’est mieux avec un bouton vert, un bouton rouge, ou un peu de copyrighting à droite à gauche.
Quel outil pour faire de l’A/B testing ?
L’A/B testing, vous pouvez en faire avec Google Analytics. Ca s’appelle Google Tests ou Google Experiments. Avant, c’était un outil à part qui se nommait Google Website Optimizer.
La grosse difficulté de Google Analytics Test, c’est qu’il faut absolument à chaque fois faire toute la version complète de la page de base et de la variation.
Si vous avez un site, vous devez créer une deuxième page avec une deuxième URL, qui va vous permettre d’avoir vraiment les deux versions.
Comme ça peut vite devenir pesant ou technique, il y a des outils bien plus simple et super puissants qui ont été créés : AB Tasty, Optimizely, Visual Website Optimizer…
Il suffit de chercher « optimisation », « A/B Testing » ou « Split Testing » sur Google et vous trouverez de nombreuses solutions.
AB Tasty est un logiciel français qui fait ça très bien, Optimizely est un logiciel américain qui fait ça très bien aussi. Ce sont des offres souvent payantes mais derrière, c’est payant aussi par rapport au résultat qu’on peut obtenir.
Etape 8 : recommencez, ne vous arrêtez jamais
L’erreur serait de s’arrêter. Le conseil c’est de persévérer.
Il faut persévérer, et vous amuser avec les outils. Si on n’y prend pas du plaisir, ça va être très compliqué d’aller plus loin que : « Je l’ai mis à la sueur de mon front, j’ai regardé et puis, bah, au final j’ai abandonné parce que ça bougeait dans tous les sens, j’ai rien compris ».
Nous vous arrêtez pas là, c’est trop dommage.
Vous devez garder en tête que plus vous échouerez, plus vous aurez de chance de trouver la configuration idéale, celle qui fonctionne vraiment bien et qui va créer une révolution de business et pour votre manière de gérer votre site web.
Testez. Echouez vite. Apprenez et corrigez. Recommencez.
On ne fait pas de recette plus efficace.
Quand mon fils de 18 mois me pique la semaine de 4 heures
Conseils pour vivre heureuxQuand ton fils de 18 mois te pique tes saines (re)lectures…
Je me demande si c’est mon surligneur fluo à l’intérieur ou les conseils de Tim qui l’intéressent le plus ? 😂
Attention : n’achète pas Business Révolution avant d’avoir lu ça
EntrepreneuriatIl y a un an, la nuit avait été agitée, le sommeil perturbé par l’excitation…
J’étais déjà levé depuis longtemps quand mon réveil a sonné.
Dans la cuisine, j’ai préparé le petit déjeuner des enfants et cette bonne odeur matinale a envahi la maison.
Sous la douche l’eau me massait la tête et procurait un bien être parfait.
J’étais calme, serein car j’avais déjà pris LA décision.
Cette décision, c’est de rejoindre la communauté Business Révolution !
Tu vas peut-être prendre la même aujourd’hui.
Simon, Franck et Grégory t’accueillent dans la dernière vidéo de la série Business Révolution et t’invitent à les rejoindre dans la formation.
Tout est prêt et tu es probablement impatient tellement le lancement a été passionnant.
Des dizanes de milliers de personnes qui veulent comme toi passer un stade super dans leur vie personnelle et professionnelle ont aussi visionné ces vidéos.
Le résultat, c’est que tout le monde va être au taquet et que les places pour intégrer Business Révolution vont s’arracher comme des petits pains.
L’an dernier, les places premium sont parties en moins de 2 heures.
J’étais le premier à cliquer sur le bouton pour acheter car je pressentais que cette aventure allait changer ma vie.
Seulement, avant d’y aller, je m’étais fixé 7 règles que je te conseille de suivre également :
Tu vas le voir, le système de Simon et Franck est ultra performant.
Simple, il n’en est pas moins intense à mettre en place et il y a du gros boulot à fournir, surtout si tu démarres de zéro et ne connais rien sur ces sujets.
Avec tout le travail sur le mindset personnel conduit par Grégory, c’est tout à fait réalisable et c’est la technique pour réussir sur internet la plus directe que je connaisse.
Simon, Greg et Franck te fournissent un véritable trésor (et les garanties qui vont avec) !
C’est cependant à toi de le façonner, de le développer, de le valoriser.
Ils ne peuvent pas tout faire à ta place comme le prétendent généralement ceux qui abandonnent en cours de route.
Tu dois faire tienne la phrase de Nicolas Boileau :
« Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage, Polissez-le sans cesse, et le repolissez, Ajoutez quelquefois, et souvent effacez »
Pour t’aider et t’accompagner, j’ai décidé que si tu achètes sur ma recommandation, je t’accompagne et te coach personnellement.
Certaines personnes qui recommandent Business révolution offrent des formations avec des prix faramineux en cadeau.
Le problème, c’est que ces formations finiront au fond de ton disque dur et alimenteront la frustration de ne jamais t’en servir.
Il vaut mieux prendre Business Révolution, et passer à l’action pour suivre la méthode avec application et assiduité.
Mon cadeau est donc le suivant :
A n’importe quel moment de ta formation durant l’année qui vient, contacte-moi si tu as la moindre question, que ce soit au niveau de la stratégie, de la technique ou du mindset.
Je t’offre un accompagnement personnel dès que tu en auras besoin. Par mail ou par Skype selon ce que tu préfères.
Mon but : que tu réussisses BR.
Comme je l’ai fait.
C’est tout, et c’est énorme.
Car BR va t’apporter beaucoup plus que ce que tu peux déjà imaginer.
Et je vais te faire une confidence : Simon m’a demandé d’être coach pour la 2e promotion qui démarre aujourd’hui.
J’ai refusé car je préfère passer du temps à mettre en place des systèmes pérennes qui contribuent chaque jour à ma réussite financière.
Dans un an, tu feras probablement pareil.
Et je vais t’aider pour ça.
Vas-y !
C’est maintenant !
A ton succès ! ! !
Gaétan
PS : en t’inscrivant, écris « VIP Gaétan » à côté de ton nom de famille. Comme ça, Simon me préviendra et je t’enverrai un mail directement pour t’accompagner.
Bravo pour ce que tu vas accomplir !
Tout est là, durant un temps limité. Ne laisses pas passer une telle occasion :
http ://http ://bit.ly/2mUAHPq
Business Révolution : nouvel épisode
Entrepreneuriathttps ://www.youtube.com/watch ?v=UWZGxYdM2bI
Dans cet article, on va voir l’un des pires freins de la réussite.
Lis bien tout jusqu’en bas, c’est important.
Avant ça, je voulais te dire que j’ai décidé que l’on allait se tutoyer. En fait, je tutoie tous mes amis, donc il n’y a pas de raison que je fasse autrement en t’écrivant. C’est plus sympa non ?
Et je sais que si tu lis ce mail, c’est que l’on partage des convictions fortes. Que l’on s’intéresse aux mêmes sujets, comme par exemple comment gagner sa vie sur internet et la liberté qui en découle, ou la volonté d’apprendre pour devenir une meilleure version de soi-même.
C’est bien que l’on puisse discuter en toute franchise, sans tabou, et sans la barrière d’un vouvoiement formel.
Je vais te raconter une anecdote qui m’est arrivée il y a un an, à quelques jours près.
J’étais au téléphone avec un ami et je lui expliquais mon activité et mon aventure d’entrepreneur, avec ses hauts et ses bas. Je lui racontais ma passion pour internet et le webmarketing, et pour gagner ma vie en mettant en place des stratégies et des systèmes automatisés pour gagner de l’argent même en dormant – pour moi ou mes clients.
Gagner de l’argent sur internet, c’est un truc qui semble très curieux pour la plupart de gens. Mes parents ne comprennent rien, mes frères et soeurs non plus – même s’ils se disent que je suis majeur et vacciné, mes potes en CDI me prennent pour un extra-terrestre, et au final, je partage peu sur cet aspect de ma vie.
Pourtant, acheter sur Internet est devenu normal pour tout le monde… En France, plus de 35 Millions de personnes achètent en ligne. J’ai acheté ce matin un bouquin sur Amazon et toi aussi, tu as probablement commandé aussi quelque chose sur internet récemment.
Les gens qui vendent sur Internet gagnent leur vie d’une manière ou d’une autre. Pourtant, quand tu parles de gagner ta vie sur internet, on te répond : « sois raisonnable, voyons… »
Et il y a un an donc, après m’avoir écouté, mon ami me dit, avec toute la bienveillance possible pour masquer son inquiétude :
Est-ce que l’on t’a déjà dit ça ?
Lorsqu’on souhaite gagner son indépendance financière et changer de vie, on est parfois confronté aux réticences de l’entourage…
Ainsi, si ton entourage est un frein, c’est parce qu’il te renvoie ses propres peurs. C’est naturel…
Cette inquiétude, c’est une des deux peurs dont Simon parle dans ce 3e épisode de la série Business Révolution. Et la deuxième ? Elle est encore pire…
Dans cette vidéo, tu vas aussi entendre Simon faire une annonce TRES originale.
Et tu vas également connaître :
A ton succès,
Gaétan
PS : cette vidéo Business Révolution et les précédentes ne sont accessibles en ligne que quelques jours. Si tu as envie de développer ton business sur internet ou que tu veux simplement comprendre comment on gagne de l’argent grâce au web, vas voir ce dont parle Simon, ça vaut vraiment le coup…
Business Révolution : 15 avis et témoignages des participants
WebmarketingIls ont participé à la formation Business Révolution (et au stage intensif à Porquerolles).
Voici leur avis sur la formation de Simon Caporossi, Grégory Grand et Franck Rocca.
https ://youtu.be/PGKV0rdeReU
Programme de Business Révolution
Pour plus de questions, envoyez-moi un message sur la page FB.
Témoignages et avis pour la formation Business Révolution
Business Révolution : avis 01
Business Révolution : avis 02
Business Révolution : avis 03
Business Révolution : avis 04
Business Révolution : avis 05
Business Révolution : avis 06
Business Révolution : avis 07
Business Révolution : avis 08
Business Révolution : avis 09
Business Révolution : avis 10
Business Révolution : avis 11
Business Révolution : avis 12
Business Révolution : avis 13
Business Révolution : avis 14
Business Révolution : avis 15
Business Révolution : avis sur la formation et retour d’expérience
WebmarketingBusiness Révolution
Avis d’un « business révolutionnaire » de la première promotion
Participant actif de la première promotion de Business Révolution, je vous livre ici mon avis sur la formation Business Révolution (BR).
https ://youtu.be/tqRVJrU5d8g
Business Révolution, c’est le nom de la formation créée en 2016 par Simon Caporossi, Grégory Grand et Franck Rocca.
Programme de Business Révolution
Une formation dense, très complète et puissante
Cette formation se déroule dans un premier temps sur 8 semaines, avec un gros module débloqué chaque semaine :
Pour être très franc, ce programme est très complet et vraiment dense.
Les 3 formateurs Business Révolution
Trio de choc pour des résultats démultipliés
Le fait qu’il y ait 3 formateurs est bien entendu un point extrèmement positif qui permet de bénéficier du meilleur de chaque expertise :
A eux 3, ils apportent des compétences complémentaires et aussi une excellente ambiance et état d’esprit, notamment lors des webinaires de suivi.
Comment réussir votre Business Révolution ?
Pour retirer beaucoup de votre investissement dans Business Révolution, je vous conseille de participer activement via les différents canaux de communication :
Le réseau que vous allez développer via Business Révolution est l’un des facteurs clés de succès. Plus vous participerez, plus vous avancerez et progresserez avec votre système Business Révolution.
Stage intensif Business Révolution
3 jours de folie au service de votre business et de votre réseau
La promesse Business Révolution
Quand Simon présente son système, il remet en questions de nombreux points que l’on considérait comme allant de soit dans le monde de l’entrepreuneuriat sur internet. Ainsi, un business internet, c’est souvent un assemblage compliqué d’éléments comme :
Ces méthodes traditionnelles ajoutent de la complication là où le système de Simon, Business Révolution, utilise le principe 80/20 de Pareto pour aller droit à l’essentiel, en supprimant tout le reste.
Avec ce système, et des produits à 67€, Simon a généré plus de 6 millions d’euros de CA en 6 ans grâce aux Editions de la Main Bleue.
Moi je dis respect…
Business Révolution est un système simple, épuré et puissant qui utilise notamment une vidéo de vente appelée VTH : Vidéo Textuelle Hypnotique.
Les avantages de Business Révolution
Pour plus de questions, envoyez-moi un message sur la page FB.
21 citations positives de motivation
Citations positives de motivationCitation motivation
Pourquoi utiliser une phrase motivante ou citation de motivation ?
Quand on veut vraiment faire avancer ses projets, il faut souvent « donner un coup de collier » ou bien « prendre un coup de pieds aux fesses ».
Le problème, c’est que ces déclencheurs sont nécessaires car on attend d’être motivé pour avancer.
Il existe pourtant une solution bien plus efficace : les habitudes.
Quand une habitude est installée, on ne se rend plus compte qu’elle est là, on l’oublie…
6 étapes pour tirer avantage de la puissance des habitudes
Les habitudes sont puissantes et profondément ancrées en nous.
Il faut être plus malin qu’elles car il est impossible de changer toutes vos habitudes en même temps.
Vous devez suivre un procédé en 6 étapes :
Qu’est-ce qui vous sert « d’excuse » quand votre cerveau a envie de faire le lézard au soleil ?
Pour prendre conscience de votre mauvaise habitude à chaque fois qu’elle apparaît
Comment agir vous éviter de tomber dans votre propre piège
Exercez-vous à agir différemment pour « tuer » cette vieille habitude
Il faut persévérer jusqu’à ce que votre cerveau adopte le comportement positif comme un réflexe
Attaquez-vous aux mauvaises habitudes suivantes. Exterminez-les une par une.
Le meilleur des déclics
A l’étape 2, vous avez vu qu’il faut un déclic. Un déclic positif et puissant.
Personnellement, je ne connais qu’un seul déclic plus puissant qu’un bon coup de pied aux fesses 😉
Ce déclencheur qui pousse à la réflexion et à l’action, c’est une phrase de motivation, une citation motivante.
Sur Vivre heureux, j’ai collecté et assemblé plus de 2000 phrases de motivation et citations positives.
Je vais régulièrement piocher dans ce stock pour me donner du courage ou réfléchir à la manière dont je travaille.
Citation motivation : les meilleures
Voici une sélection des meilleures phrases et citations de motivation
Celles que je préfère.
Les citations qui ont pour moi le plus fort impact sur ma motivation personnelle.
Piochez avec joie dans cette liste, partagez avec vos proches vos citations de motivation préférées.
Je partage régulièrement d’autres citations sur la page Facebook.
Cliquez pour liker la page.
Citation motivation #1 : Le Dalaï Lama
Citation motivation #2 : George Eliot
Citation motivation #3 : Henri Matisse
Citation motivation #4 : Ralph Waldo Emerson
Citation motivation #5 : Confucius
Citation pour se motiver #6 : Mark Twain
Citation motivante #7 : Sénèque
Citations de motivation #8 : Juan Ruiz de Alarcon
Citation motivation #9 : Andy Wachowski (Matrix)
Phrase de motivation #10 : Henri David Thoreau
Citation motivation #11 : proverbe japonais
Citation motivation #12 : Henry Havelock Ellis
Citation qui motive #13 : Molière
Citation motivation #14 : Jacob Cat
Citation de motivation #15 : proverbe chinois
Phrase motivation #16 : J. Robert Oppenheimer
Citation motivation #17 : Théocrite
Citation motivation #18 : Truman Capote
Citation motivation #19 : Cervantès
Citation pour passer à l’action #20 : John F. Kennedy
Citation motivation #21 : Ralph Waldo Emerson
VAKOG : la technique puissance pour décupler les émotions
WebmarketingDans la formation Business Revolution que je suis en train de suivre, on enrichit notre argumentaire de vente avec plusieurs procédés et techniques d’influence, l’une d’elle est le VAKOG.
Cela permet de rendre les textes beaucoup plus pertinents en faisant surgir des émotions fortes chez le lecteur.
Jusqu’à aujourd’hui, je n’avais jamais utilisé consciemment ces techniques.
Le VAKOG
Les initiales de V.A.K.O.G. font référence à nos 5 sens :
Comme chaque personne a un sens ou plusieurs dominants, il faut pouvoir s’adresser à tout le monde et toucher tout le monde quelque soit son équilibrage sensoriel.
Dans les chiffres que j’ai trouvé, en résumant les études, on arrive à la répartition suivante parmi la population :
Dans le jardin des Cinq Sens
La technique VAKOG consiste simplement à utiliser des mots faisant référence aux 5 sens et pas uniquement de rédiger en utilisant son propre champs sémantique habituel.
J’avais beau savoir que c’est bien et puissant de faire appel aux 5 sens, je n’avais jamais rédigé en focalisant mon attention sur l’un des sens.
C’est fou comme ça rend vivant les propos, comme cela aide à rendre vivant les textes et exemples choisis.
Si vous ne l’avez pas encore fait, je vous conseille vraiment de relire vos textes et de consacrer du temps :
Voilà, vous avez vu ce que ça peut donner sur les 5 dernières phrases.
En plus, c’est vraiment fun à faire.
Vocabulaire VAKOG
Pour chacun des sens, j’ai essayé de rassemblé les mots clés que vous pouvez utiliser dans vos argumentaires.
Certains nous étaient donnés dans Business Révolution, j’en ai ajouté d’autres issus de mes recherches sur internet pour avoir un gros volume de vocabulaire VAKOG. La liste est non exhaustive.
Enjoy !
Vocabulaire VAKOG : Visuel
voir, revoir, regarder, montrer, visualiser, surveiller, dépeindre, irradier, clarifier, assombrir, discerner, éclairer, scruter, photographier, aveugler, colorer, apercevoir, observer, entrevoir, percevoir, regarder, occulter, contempler, imaginer, se représenter, admirer, viser, cacher, épier, dévisager, reluquer, examiner, guetter, inspecter, toiser, viser, fixer, espionner, hypnotiser, lorgner
perspective, image, flash, photo, horizon, illumination, point de vue , éclaircissement, écran, brillance, graphique, illusion, voyant, clairvoyance, clarté, formes, peinture, éclair, soleil, dessin, lumière, attitude, miroir, assurance, perspective, beauté, éclat, contraste, agencement, couleurs (bleu, jaune, rouge, vert, orange, blanc, noir, rose etc.), tailles (large, haut, grand, petit, etc.), formes (triangle, rond, carré, etc.), masse, pic, pointe
clair, limpide, lumineux, sombre, brillant, coloré, vague, flou, terne, coloré, net, transparent, foncé, volumineux, observateur
poser le regard, brosser un portrait, voir le bout du tunnel, faire un tour d’horizon, garder l’oeil, montrer du doigt, faire la lumière sur, en mettre plein la vue, voir sous son vrai jour, en voir de toutes les couleurs, sans l’ombre d’un doute, idées noires, tout un cinéma, en un clin d’oeil, c’est clair, plein les yeux, comme en plein jour, bien vu, ne pas pouvoir voir quelqu’un, montrer du doigt, avoir un teint éblouissant, voir plus loin que le bout de son nez, avoir le sens de l’observation, n’avoir d’yeux que pour, dévorer des yeux, c’est tout vu, chercher des yeux, saisir à la dérobée, viser du coin de l’œil
Vocabulaire VAKOG : Auditif
entendre, parler, dire, redire, écouter, proclamer, murmurer, hurler, résonner, abasourdir, s’écouter, taire, accorder, dialoguer, crier, siffler, sonner, amplifier, chanter, grincer, gémir, chanter, grogner, fronder, aboyer, susurrer, râler, chuchoter, jacasser, orchestrer, auditionner, téléphoner, insonoriser, entendre, marteler, bercer
bruit, mélodie, harmonie, cacophonie, tonalité, cri, accord, musique, commentaire, opinion, rythme, silence, volume, instrument, note, phrase, discours, écho, paroles, tonnerre, tintamarre, cloche, vent, fanfare, sonnerie, symphonie, bémol, onde, oreille, résonance, écouteurs, grelot, gémissements, plainte, grincements, grognement, roulement, hurlement, brouhaha, rumeur, tapage, tumulte, clameur, fracas, vacarme, chant, chuchotement, clapotis, frémissement, murmure, bourdonnement, bruissement, chuintement, clameur, ovation, panorama, scène, vision
mélodieux, harmonieux, musical, rauque, grave, sourd, aigu, cadence, rythmé, rapide, lent, fort, faible, audible, roque, malentendant, réceptif, cristallin, affaibli, étouffé, régulier, vibrant, feutré, léger, détonant, assourdissant, perçant, percutant, strident, violent, bref, prolongé, sec, léger, métallique, plaintif, prolongé, strident
langue bien pendue, mâcher ses mots, tenir sa langue, mot pour mot, bouche cousue, prêter une oreille attentive, façon de parler, avoir son franc-parler, au diapason, à l’écoute, donner le ton, casser les oreilles , réduire au silence, comme de bien entendu, c’est entendu, tendre l’oreille, autrement dit, faire la sourde oreille, sonner les cloches, à bon entendeur, se faire l’écho de, être tout ouïe, en avoir plein les oreilles, marcher à pas feutrés, cela ne me dit rien, accorder ses violons, claquer des doigts, déchirer les tympans
Vocabulaire VAKOG : Kinesthésique
appuyer, cogner, frotter, heurter, saisir, caresser, câliner, enlacer, flatter, chatouiller, tripoter, palper, pétrir, presser, tâter, frictionner, frotter chatouiller, masser, effleurer, frôler, égratigner, érafler, écorcher, tâtonner, tâter, sentir, toucher, saisir, remuer, prendre, chercher, toucher, lécher, gesticuler, bouger, rouler, masser, taper, écraser, frapper, ressentir, décortiquer, embrasser, s’étouffer, manipuler, tétaniser, projeter, coller, agripper , serrer, éprouver, manipuler
pression, charge, texture, sensation, pressentiment, choc, impact, poigne, stress, émotion, papouilles, chaleur, bisous, feu, énervement, faim, soif, contact, claque, coup, heurt, caresse, effleurement, sécheresse, moiteur, chatouillement, gifle, tact
calleux, cotonneux, soyeux, satiné, velouté, poli, noueux, rugueux, doux, lisse, dur, piquant, rêche, rugueux, tiède, collant, gluant, brûlant, duveteux, frais, froid, gras, humide, lourd, mouillé, sec, souple, relaxé, concret, triste, mou, ferme, lié, tendre, solide, dur, froid, chaud, sensible, insensible, blessé, lessivé, frappant, chaleureux, lourd, complexe, superficiel
en contact, garder le contact, plein le dos, mettre la main à la pâte, avoir un bon feeling, main dans la main, être à côté de ses pompes, tirer les ficelles, amortir le choc, marcher de travers, prendre son pied, enfoncer le clou, en avoir plein le dos, saisir une occasion, avoir la main mise, avoir les pieds sur terre, bon pied bon oeil, avoir la tête sur les épaules, gros sur le cœur
Vocabulaire VAKOG : Olfactif
sentir, puer, renifler, humer, respirer, aspirer, flairer, empester, empuantir, dégager, fleurer, exhaler, embaumer, parfumer, infecter, répandre, subodorer
nez, odeur, sentiment, parfum, narine, senteur, effluves, relents, arômes, haleine, émanation, sinus, fragrance, bouffée, essence
parfumé, odorant, rance , putride, moisi, musqué
avoir du flair, sentir le roussi, mettre au parfum
Vocabulaire VAKOG : Gustatif
goûter, dégoûter, saliver, dévorer, croquer, mâcher, engloutir, savourer, avaler, déguster, se délecter, se rassasier, boire, ingurgiter, siroter, bouffer
goût, palais, appétit, papilles, amertume, saveurs, arômes, assaisonnement, dégustation, acidité, âcreté, amertume, âpreté, bouffée, bouquet, dégustation
amer, sucré, salé, fade, poivré, savoureux, acide, fruité, épicé, insipide, exquis, suave, fugace, musqué, délicat, délicieux, velouté, âcre, aigre, agressif, capiteux, suffocant, écœurant, pestilentiel, aromatique, (dés)agréable, doux, fétide, acerbe, acidulé, astringent, buccal, délectable, douceâtre, faisandé, gustatif, piquant, rance, relevé, succulent,
sur le bout de la langue, le sel de la vie, pour tous les goûts, ne pas être dans son assiette, à pleines dents
Il y a évidemment des mots qui reviennent plusieurs fois et utilisables pour différents sens.
Amusez-vous !
8 étapes clés pour améliorer votre site internet avec l’analytics
WebmarketingLa clé pour améliorer votre site web, c’est de vous intéresser à ce qui se passe dessus :
Pour faire ça, vous devez vous intéresser aux données et statistiques disponibles pour votre site web. Le plus simple, c’est d’utiliser un logiciel comme Google Analytics.
Le problème, c’est que si j’écris « analytics », la plupart des lecteurs a déjà fermé la page car c’est un gros mot.
Mais si vous lisez encore ces lignes, et si vous avez un site web, c’est que vous avez compris qu’il y a ici une clé qui peut vous aider à ouvrir la porte à de meilleurs résultats.
Et vous allez voir, ce n’est pas aussi compliqué que vous le pensez.
L’objectif :
Le but, c’est que vous multipliez par 2, 3, 5 ou même plus le nombre de visiteurs auxquels vous vendez vos services via votre site ou qu’il y ait beaucoup plus de visiteurs qui vous laissent leurs coordonnées et vous contactent.
Il y a des trucs et astuces à connaître et bien sûr des erreurs à ne pas commettre avec Google Analytics.
Etape 1 : installez Google Analytics
Le premier truc, qui est peut-être très bête, mais c’est de l’installer. Le vrai problème, c’est qu’avant de l’avoir installé, on n’a rien, pas une statistique.
Il y a un avant et après.
Si vous voulez avoir des infos, des statistiques sur vos visites, commencez par installer le logiciel.
Etape 2 : filtrez votre adresse IP
Une fois que vous l’avez installé, il faut supprimer votre adresse IP pour ne pas prendre en compte vos propres visites.
Sinon, vous allez biaiser l’ensemble de vos statistiques.
Faites-le donc tout de suite ou vous verrez qu’il y a un visiteur qui reste 40 minutes sur le site. Mais ce sera vous…
Etape 3 : Fixez un objectif
Aujourd’hui, on a un objectif d’activité, un objectif de business, typiquement ça peut être de vendre, ou que les gens, au final, cliquent sur un bouton.
Cet objectif de business, il faut que vous le traduisiez en objectif analytique à paramétrer dans l’administration de Google Analytics.
Il y’a plusieurs types d’objectifs, le plus simple étant de considérer que le visiteur a atteint une certaine page : « un visiteur qui arrive là, ça veut dire que c’est valide ». C’est peut-être la page de remerciement suite à l’inscription dans un formulaire par exemple.
C’est la chose la plus importante à faire parce que tout ce que vous allez analyser, ce sera au regard de cet objectif .
C’est extrêmement difficile de trouver le bon objectif. Si vous demandez à plusieurs personnes qui gèrent un site l’objectif numéro un, l’objectif principal du site, on aura autant de réponses différentes que de personnes à qui la question est posée.
Le plus simple c’est donc la page de remerciement post-commande parce que c’est là où on est sûr d’avoir tous les gens qui ont commandé « normalement ».
Il y’a d’autres possibilités, on peut rajouter un clic sur le bouton, etc. mais ça demande parfois plus de configuration, donc on va dire que c’est la page de remerciement. Il faut surtout que ce soit une page où la seule manière d’y arriver c’est de passer par le bouton d’achat.
Etape 4 : pratiquez Google Analytics
Google Analytics, et l’Analytics en général, c’est comme une langue étrangère.
On peut l’avoir apprise en 6ème, puis on a tout oublié. Mais une langue étrangère, si on veut que ça serve, il ne faut pas vouloir parler parfaitement, il ne faut pas vouloir maitriser parfaitement la grammaire, mais par contre, il faut pratiquer.
Le bonheur de parler anglais, espagnol, allemand, chinois ou arabe, c’est de pouvoir pratiquer, de converser avec quelqu’un.
Donc ça veut dire que le truc à faire avec Google Analytics c’est d’aller s’amuser avec, d’aller dans les menus.
D’aller essayer de comprendre à quoi ça correspond.
D’aller jouer, d’aller regarder le menu du sous-menu du sous-menu, parce que Google Analytics est assez fort là-dedans.
Le risque c’est d’aller se perdre, mais cela permet d’identifier les points essentiels à regarder, et c’est par là qu’il faut commencer.
Etape 5 : bouchez les trous de votre site
Votre site c’est un peu comme une passoire, c’est-à-dire qu’il y a des gens qui arrivent, mais il y’a des trous partout car les visiteurs peuvent partir par pleins d’endroits.
Le but ça va être d’aller boucher ces trous-là.
Donc le premier truc que je conseille c’est simplement d’aller regarder le rapport Google Analytics qui s’appelle « Pages de Destination ». C’est toutes les pages sur lesquelles les visiteurs arrivent, puisque les gens n’arrivent évidemment pas que sur la homepage.
Dans ce rapport, identifiez les pages qui ont, en comparaison à la moyenne du site, un taux de rebond qui est mauvais.
On va commencer par ces pages-là, parce que souvent on va s’apercevoir, généralement, que 20 % des pages créent 80 % des problèmes des gens qui partent, comme souvent 20 % des pages c’est là où on a 80 % de notre trafic.
Commencer par regarder ces pages, et d’aller sur ces pages-là et de dire : « Pourquoi est-ce que les gens s’en vont quand ils arrivent sur ces pages ? ».
La question c’est de dire : « Est-ce qu’ils ont leur réponse à leur question ? », « Est-ce que la page, potentiellement, est moche, parce que c’est un problème créatif, ou d’ergonomie, etc ? »
C’est l’un des points les plus difficiles. C’est de finalement aller lire dans les pensées de ses visiteurs et de comprendre pourquoi ils sont arrivés là, comment, etc. mais c’est un des points essentiels, parce que plus vous arriverez à diminuer le nombre de trous dans la passoire, plus ça sera simple pour ensuite concentrer le jus, le flux, vers l’objectif du site, et donc vers la conversion.
Etape 6 : vérifiez le ROI de vos actions d’acquisition
Essayez ensuite de tracker tous les liens qui vous apportent du trafic pour savoir d’où viennent vos prospects, pour pouvoir justement ouvrir votre entonnoir de conversion.
Vous allez pouvoir tout vérifier au regard de l’objectif analytique que vous avez fixé.
Le point essentiel à ce moment-là, c’est de vous dire : « Je fais des efforts d’acquisition de trafic, j’envoie des emails, je dépense potentiellement un budget sur AdWords, j’ai une page Facebook, j’ai écrit des articles sur d’autres sites, est-ce que ça me ramène du monde ? »
Et donc d’aller classer vos efforts… De mesurer combien ça vous ramène de visiteurs. Et de savoir si ces visiteurs commandent ou s’inscrivent ?
Comme vous avez l’objectif de la commande, vous pouvez regarder, au regard de cet objectif, quelles sont les sources de trafic qui vous rapportent de l’argent.
Google Analytics sert quand on prend des décisions avec, donc derrière il faut dire, bah, 20 % de mes pages sont celles qui me rapportent 80 % de mon business, je mets mes efforts absolument là-dessus et donc vraiment renforcer ce point-là.
L’analytics au service de la performance de votre site internet
Etape 7 : testez l’A/B testing
L’idée derrière l’A/B testing, c’est de vous dire : « J’ai ma page actuelle, je vais en créer une variation de cette page-là avec un élément qui va être différenciant pour voir laquelle des deux variations convertit le mieux au regard de l’objectif fixé. »
Par exemple, ce sont deux pages, l’une avec un bouton rouge et l’autre avec un bouton vert. Mes visiteurs vont dessus aléatoirement et je vois ce qui convertit le mieux.
Une fois que vous l’avez fait, l’idée c’est de recommencer en testant la version qui a le mieux fonctionné contre une nouvelle version (la version C en fait).
3 règles d’or de l’A/B testing
A savoir, il y a 5 règles d’or du testing et la première est de tester ce qui est le plus différenciant, et la couleur du bouton n’est pas obligatoirement le plus différenciant. Globalement, dans le plus différenciant, il y’a d’abord l’offre. Finalement, offrir une offre à abonnement ou offrir une vente ou un essai gratuit par exemple.
Il y a énormément de choses à tester mais c’est sur l’offre marketing que va se faire la plus grande différence en terme de pourcentage.
On a souvent envie de dire « Bah ça y’est, j’ai un produit, je le vends, et puis derrière j’essaye d’améliorer la couleur du bouton pour voir si je peux vendre plus ».
Oui on va vendre plus potentiellement, mais c’est minime par rapport au saut en terme de conversion qu’on peut faire en testant l’offre.
Et le deuxième point, une fois qu’on a testé l’offre et qu’on a fait A contre B, B contre C, B contre D parce que C marchait pas, D contre E, etc., et on peut vraiment tester longtemps, c’est en effet d’aller tester le titre.
C’est le titre qui est ensuite le point le plus différenciant. 50 % de la lecture d’un article ou de l’ouverture d’un mail est dans le titre. Largement. Et c’est pareil pour une offre, ou pour une page ou pour une landing page, etc.
Ensuite seulement, on pourra aller tester les aspects cosmétiques pour savoir si c’est mieux avec un bouton vert, un bouton rouge, ou un peu de copyrighting à droite à gauche.
Quel outil pour faire de l’A/B testing ?
L’A/B testing, vous pouvez en faire avec Google Analytics. Ca s’appelle Google Tests ou Google Experiments. Avant, c’était un outil à part qui se nommait Google Website Optimizer.
La grosse difficulté de Google Analytics Test, c’est qu’il faut absolument à chaque fois faire toute la version complète de la page de base et de la variation.
Si vous avez un site, vous devez créer une deuxième page avec une deuxième URL, qui va vous permettre d’avoir vraiment les deux versions.
Comme ça peut vite devenir pesant ou technique, il y a des outils bien plus simple et super puissants qui ont été créés : AB Tasty, Optimizely, Visual Website Optimizer…
Il suffit de chercher « optimisation », « A/B Testing » ou « Split Testing » sur Google et vous trouverez de nombreuses solutions.
AB Tasty est un logiciel français qui fait ça très bien, Optimizely est un logiciel américain qui fait ça très bien aussi. Ce sont des offres souvent payantes mais derrière, c’est payant aussi par rapport au résultat qu’on peut obtenir.
Etape 8 : recommencez, ne vous arrêtez jamais
L’erreur serait de s’arrêter. Le conseil c’est de persévérer.
Il faut persévérer, et vous amuser avec les outils. Si on n’y prend pas du plaisir, ça va être très compliqué d’aller plus loin que : « Je l’ai mis à la sueur de mon front, j’ai regardé et puis, bah, au final j’ai abandonné parce que ça bougeait dans tous les sens, j’ai rien compris ».
Nous vous arrêtez pas là, c’est trop dommage.
Vous devez garder en tête que plus vous échouerez, plus vous aurez de chance de trouver la configuration idéale, celle qui fonctionne vraiment bien et qui va créer une révolution de business et pour votre manière de gérer votre site web.
On ne fait pas de recette plus efficace.
A mort l’accumulation, vive la légèreté
EntrepreneuriatLa déconstruction selon Joan Miró
Il y a quelques années, je suis allé à Beaubourg voir une exposition consacrée à Miró.
Vous connaissez Miró, il a peint des tableaux comme celui-ci :
Le vol de la libellule en face du soleil
En voyant cette oeuvre ou l’un de ses tableaux connus, vous vous dites peut-être comme moi :
« Franchment des tâches et des trais de couleurs, un enfant de 4 ans peut le faire. »
Surtout quand vous voyez le titre du tableau : « Le vol de la libellule en face du soleil ».
Ce que l’on sait peu, c’est que Miró a peint pendant une vie entière avant d’être capable d’arriver à des oeuvres aussi épurées.
A ses débuts, ses toiles étaient beaucoup plus chargées, plus complexes, plus réelles aussi.
Au fil des années, il s’est fixé un challenge : déconstruire pour ne garder que l’essentiel.
Devant un paysage, il prenait du temps pour observer puis il fermait les yeux pour supprimer petit à petit tout le superflu, l’inutile et ne conserver que l’essence même, l’incontournable du paysage qu’il souhaitait peindre.
Ses toiles ont gagné en légèreté, et en force.
A mort l’accumulation
C’est quand même fou notre capacité à toujours vouloir en faire plus, plutôt que d’essayer de faire mieux.
Au fil des semaines, des mois, des années, on a tendance à entasser, accumuler.
C’est le cas avec nos affaires personnelles, physiques. C’est le cas avec nos affaires virtuelles aussi.
Personnellement, je trouve ça hyper pesant et j’essaye de me battre constamment.
On multiplie les objets, les fichiers, les dossiers et tout demande de l’attention.
Et l’attention est la denrée la plus rare et la plus précieuse.
Un business lourd comme un train de marchandise ?
Dans son business, c’est exactement la même chose. On multiplie les activités, les idées, les partenariats, etc. Et au lieu de creuser le sillon de ce qui marche (ou même seulement de faire marcher ce qui commence à fonctionner) ; on ajoute sans fin de nouvelles idées.
Comme si vous ajoutiez à chaque fois un nouveau wagon au train de votre business.
Vous vous retrouvez vite avec ces trains de marchandises de 2 kilomètres qui traversent les Etas-Unis.
Il faut une énergie phénoménale pour tirer tout ça, genre au minimum 3 locomotives diesel.
© daedalum.org
Au minimum…
Pourquoi simplifier ?
Si je vous parle de tout ça, c’est que j’ai décidé de tuer certains de mes sites internet, et d’en rassembler d’autres.
Depuis des mois, je souffre de temps à autre d’un ras le bol généralisé concernant mon business en ligne.
La simplicité dont j’avais rêvé s’est complexifiée.
Ce n’est pas obligatoirement visible, mais comme j’ai toujours de nouvelles idées, je crée autant autant de sites web correspondant.
Le problème, c’est que ça multiplie les coûts (achats de noms de domaines, d’hébergement…), ça multiplie mes tâches à gérer en parallèle et ça divise ma capacité de concentration.
Le cerveau passe sans cesse d’un sujet à l’autre, d’un site au suivant.
Une idée d’un côté m’en donne 2 nouvelles pour d’autres sujets que je développe au lieu de me résigner à me concentrer sur mon sujet principal.
C’est tellement dur de renoncer à ce qui nous semble être THE NEW BIG IDEA (à chaque fois).
C’est tellement plus simple de fuir en avant vers une prochaine chimère plutôt que de « travailler » à résoudre ce qui ne fonctionne pas sur l’existant et donc de capitaliser sur ce que l’on a déjà fait.
Bien entendu, développer des sujets connexes, parallèles, ça permet aussi d’enrichir par d’autres biais son site principal. C’est d’ailleurs mon excuse favorite : je fais un détour pour avancer plus vite ensuite !
OK, mais à quel prix ? Au final, après quelques jours ou semaines concentrés sur un autre sujet, l’énergie nécessaire pour « se remettre dedans » est juste énorme.
Vive la légèreté !
Il vaut mieux en faire moins, mais le faire bien.
Voilà, une fois de plus, je fais l’apologie de la simplicité dans un article. Je le fais pour moi car en parler, c’est déjà un premier pas pour agir.
Je vous conseille d’en faire autant. Et de regarder sans tabou ce que vous pourriez supprimer pour vous recentrer sur l’essentiel.
Bon élagage !
Comment apprendre vite (et bien) pour devenir expert de sa discipline
EntrepreneuriatPour progresser rapidement sur un sujet, voici une stratégie très efficace :
Avec tout ça, vous aurez de quoi lire, progresser, et une connaissance intéressante des acteurs du secteurs.
En plus, c’est une méthode ultra facile pour améliorer et développer votre réseau professionnel.
Le truc cool, c’est que ça marche dans la vie professionnelle encore mieux qu’à la télé ;-)